Le bilan énergétique ACMOS est le résultat des travaux de recherche et de validation poursuivis depuis 1975 par René NACCACHIAN, ingénieur, chercheur en biophysique et en bioénergétique, Docteur en médecine énergétique, en sciences et en biologie moléculaire. C’est un accident qui a conduit celui-ci à s’intéresser de très près à la médecine traditionnelle chinoise et à l’acupuncture en particulier. Il a ensuite entrepris de minutieuses recherches, à la lumière de la haute technologie offerte par la science moderne.

Reprenant les découvertes d’Ernst LECHER et de Reinhold VÖLL, et les adaptant aux besoins d’une nouvelle médecine énergétique, fondamentalement inspirée de l’acupuncture, René Naccachian a mis au point une méthode de diagnostic et une thérapeutique qui semblent à première vue, assez révolutionnaire.

Qu’est-ce qui vous a amené à créer la méthode ACMOS ?

Tout a débuté, il y a trente ans, par un accident qui devait, à terme, immobiliser un de mes genoux. La médecine occidentale jugeant le cas sans espoir, je profitais d’un de mes voyages en Chine – où je me rendais fréquemment en tant que conseiller du commerce extérieur de la France – pour me faire soigner par un acupuncteur. Résultat : non seulement j’ai récupéré mon genou, mais j’ai pu reprendre le tennis (qui était ma passion), et me classer dans des tournois.
Cela m’a tellement époustouflé, que je suis retourné plusieurs fois en Extrême-Orient afin d’apprendre la médecine chinoise, dans une des rares universités enseignant à la fois les médecines orientale et occidentale. C’est ainsi que je suis devenu docteur en médecine énergétique (acupuncture et homéopathie) et en médecines alternatives, puis en biologie moléculaire, en sciences… et même en philosophie !
Armé de ce bagage, je décidai de faire des recherches sur tout ce qui touche à l’aspect énergétique de l’homme. Et c’est sans doute parce que j’étais autrefois ingénieur spécialisé dans les instruments de mesure, qu’il m’est soudain apparu indispensable de mesurer les paramètres bioénergétiques.
Dans sa phase initiale, ma recherche a donc consisté à vérifier, par la mesure, l’efficacité de la stimulation des points d’acupuncture sur des sujets occidentaux. Je voulais savoir si les mêmes points avaient les mêmes effets sur des personnes vivant sous des latitudes différentes. Or, il s’est justement avéré que non, tout simplement parce que ces personnes ne sont pas assujetties aux mêmes tensions cosmotelluriques. Certaines propositions traditionnelles chinoises ont donc été écartées chaque fois que les mesures n’ont pas confirmé leur universalité.
Ensuite seulement, j’expérimentais la stimulation de ces points, non plus par des aiguilles mais par des impulsions vibratoires spécifiques reproduisant les phénomènes de régulation énergétiques naturels.
La méthode ACMOS était née !

Que signifie ce sigle ?

« Analyse de Compatibilité des Matières sur l’Organisme et leur Synergie« . Il s’agit, en effet, non seulement de rétablir les circuits énergétiques des organes et du métabolisme, mais aussi d’analyser la compatibilité de l’organisme avec les aliments, les médicaments et l’environnement.
Par exemple, en ce qui concerne les médicaments, beaucoup de médecins établissent des ordonnances à rallonge. Or, chaque fois que vous ajoutez un médicament à votre ordonnance, vous avez, selon la loi de probabilité, 50% de chances supplémentaires de tomber à côté, et de casser la compatibilité. Au lieu d’arranger le malade, ces médicaments le dérangent parce qu’ils ne vont pas ensemble ! Pour cette raison, je trouve utile de mesurer la compatibilité énergétique entre le patient et les différents médicaments pouvant répondre à son cas, dans le but d’établir avec une précision scientifique le choix du médicament, ainsi que son dosage et sa posologie. Autre exemple : admettons que les émissions électromagnétiques de cette lampe de bureau m’agressent. Mes cellules vont alors les combattre, et, au bout d’une heure, je serai fatigué ou j’aurai mal à la tête…
Pourquoi donc ne pas mesurer les crachotements électriques des appareils ménagers et leurs effets perturbants sur notre organisme, afin de nous préserver de ce type de pollution ? Là encore, c’est ce que notre méthode et nos instruments de mesure permettent de faire !

Cette méthode aurait donc plutôt une visée préventive ?

Notre but est de rétablir des qualités énergétiques que le corps a inhibées, se rendant, par là même, incapable de faire face à son quotidien, à ses maladies, à ses allergies…
C’est effectivement de la prévention, mais rappelons toutefois que les blocages énergétiques ne sont pas de l’ordre du subjectif ! Ils sont dus à des cellules mortes ou dégénérées que le corps ne parvient pas à éliminer.
Mais la méthode ACMOS propose aussi aux médecins des moyens permettant à leurs traitements de mieux cibler le lésionnel. En effet, quand l’équilibre énergétique du patient est rétabli, il aura besoin de dix ou vingt fois moins de médicaments, l’opéré de cinq fois moins d’anesthésique…

Quels moyens thérapeutiques et quels types de diagnostic cette méthode met-elle en oeuvre ?

Le diagnostic en question est évidemment un bilan énergétique, essentiellement basé sur la mesure bioélectrique des points terminaux des méridiens de l’acupuncture, et sur la détection des champs énergétiques et des canaux cosmotelluriques de l’être humain.

La séance se déroule en trois phases : on mesure tout d’abord les champs, pour savoir si la symétrie énergétique est perturbée, et définir à quel niveau il y a des désordres. En fait, si l’on commence par mesurer à quel niveau vous êtes perturbé, c’est pour s’assurer de bien gérer le niveau le plus profond avant la surface. La surface peut en effet être déficiente parce que le fond l’est lui-même. Dès lors, il suffit de rétablir le fonds, pour rétablir la surface. Dans un second temps, on mesure chaque circuit organique : poumon, coeur, rate, etc. Et enfin, on stimule les points énergétiques.
Bien sûr, au-delà de ces trois étapes, on peut être amené à procéder à une analyse de la qualité vibratoire d’un produit thérapeutique ou alimentaire, et à rechercher les agressions environnementales… Mais tout cela se fait uniquement à l’aide d’appareils.

Quels sont ces appareils ?

Il y a tout d’abord l’antenne de Lecher, qui est un instrument scientifique, malgré tout ce qu’on peut croire, puisque c’est un grand physicien allemand qui en a trouvé le principe. Cette simple antenne, munie d’un dispositif gradué permettant de choisir des longueurs d’ondes, a plusieurs fonctions, depuis le test des champs énergétiques jusqu’au test de la qualité vibratoire des produits, en passant par la détection des ondes de l’environnement. Globalement, nous dirons qu’elle détecte le problème. Un autre appareil, le testeur énergétique, va sonder chaque circuit organique pour déceler toute déficience éventuelle dans la vitalité de l’organe, indiquer où se situent les blocages et les ralentissements de l’énergie, et distinguer si c’est l’organe qui est en cause ou son circuit. Ce deuxième appareil va donc nous préciser où se trouve le problème qu’on a détecté globalement pendant la première phase de la séance. De plus, le testeur permet d’objectiver immédiatement l’effet d’un médicament ou d’une stimulation énergétique sur un organe. Le stimulateur énergétique, enfin, va rétablir la qualité du circuit. Par résonance vibratoire, il réduit les blocages identifiés par le testeur et rétablit la circulation énergétique selon le programme défini par le bio-énergéticien.

En quoi est-ce différent de l’électro-acupuncture ?

L’électro-acupuncture utilise des milliampères, alors que nous n’utilisons que des micro-ampères. Avec notre méthode, le corps répond à de très faibles sollicitations, et s’en contente pour se réorganiser.
J’insiste pour dire que toutes ces pratiques sont originales, et qu’elles constituent une évolution et une objectivation de ce que les orientaux appliquaient de façon empirique, tout au plus confirmées par des raisonnements philosophiques.

Sans parler de philosophie, quels sont alors les fondements théoriques de votre méthode ?

Eh bien, nous concevons évidemment l’être humain avant tout comme une entité énergétique qui reçoit et émet des ondes vibratoires.
Ces ondes engendrent des champs électromagnétiques et thermiques, selon les lois de la physique.
Actuellement, trois de ces champs sont identifiables et mesurables scientifiquement par notre méthode :
– Le champ symptomatique (le plus proche du corps), qui reflète les problèmes de surface et l’état des défenses immédiates (les problèmes apparaissant dans ce champ sont très souvent provoqués par des désordre de fond).
– Le champ profond, qui objective les problèmes de terrain provoqués par l’hérédité et/ou l’acquis (ce que le thérapeute ACMOS précisera).
– Le champ vibratoire, qui exprime la qualité du rayonnement vital (pouvant subir des facteurs réducteurs dus à l’hérédité parentale, chromosomique, génétique et même atavique, ou encore au vécu, intégrant tous les chocs psychiques ou physiques).
Ces trois champs sont donc le reflet de la circulation énergétique de notre organisme à différents niveaux : défenses, terrain, hérédité et vitalité.
Et c’est parce que nous reconnaissons différents niveaux, que, dans le protocole ACMOS, nous nous interdisons l’application d’une régulation superficielle ou symptomatique tant que l’origine du désordre, dans les profondeurs de l’organisme, n’a pas été identifiée et traitée.

De quel traitement s’agit-il ?

Nous avons sélectionné une quantité nécessaire et suffisante de produits naturels susceptibles de rétablir les harmonies énergétiques du corps à ses différents niveaux, physiques et psychiques. Ces produits sont autant de régulateurs qui permettent de répondre aux besoins profonds de l’organisme, non en fonction d’un quelconque symptôme, mais sur un plan purement énergétique. En d’autres termes, les huiles essentielles, phytothérapiques, homéopathiques ou autres substances que nous utilisons, sont employés en tant qu’impulsions vibratoires adressées à l’organisme à l’endroit même où elles font défaut pour lever un blocage énergétique.
Cela explique que ces produits ne sont pas à prendre comme des remèdes normaux. Par exemple, les huiles essentielles ne seront jamais avalées, mais placées sur les chakras ou sur un point cutané…
Dans notre système, les huiles essentielles gèrent la qualité héréditaire, c’est-à-dire les tensions endogènes. La phytothérapie s’occupe de tous les problèmes de surface, qui correspondent aux faiblesses du moment. l’homéopathie, en grande partie, traite les niveaux psychiques. Et on va employer les couleurs pour gérer l’élimination. Ainsi, au lieu de vous faire avaler des produits pour éliminer en surface, nous préférons nous servir de la chromothérapie pour assurer l’évacuation de vos cellules mortes par la lymphe (le circuit lymphatique étant, selon moi, le principal système d’évacuation des cellules ; les embarras du système intestinal ne représentant, comparativement à l’importance de l’élimination cellulaire, qu’un très petit problème).
Ainsi, chaque catégorie de remèdes constitue une gamme spécifique ; et nous balayons, gamme après gamme, chaque niveau de votre constitution : métabolique, hormonal, psychique, superficiel, héréditaire, élimination, etc. Pour ce faire, nous vous confrontons à toutes les gammes de produits, et dès que vous vous trouvez en contact avec le produit qui manque à votre organisme, celui-ci détermine immédiatement une tension… que nous repérons à l’aide de notre appareillage.

Combien de temps le traitement dure-t-il ?

Parfois une seule séance suffit. Mais cela peut évidemment être un peu plus long. En général, plus vous êtes âgé ou habitué à vivre dans une ambiance stressante, et moins le corps assumera sa gestion rapidement.

Votre méthode est-elle connue ?

De plus en plus ! Nous avons une trentaine de centre répartis entre la Belgique, la Turquie, l’Italie, les Etats-Unis, le Canada et bien sûr la France (24 centres en France, dont 10 à Paris).
Ici, à Paris, je forme des particuliers, des praticiens, et même des formateurs, dans des classes de souvent plus de soixante dix élèves… dont la fin des études est sanctionnée par un diplôme de bioénergéticien.
Nous créons également des cellules d’entreprise, dans le cadre de la formation continue, pour apprendre aux salariés à gérer leur énergie.
A ce jour, nous avons formé, en tout, environ trois mille personnes, parmi lesquelles trois cents pratiquent de façon très sérieuse.

Qui sont les praticiens ?

De plus en plus, des médecins ! Mais aussi des infirmières, des kinésithérapeutes… en fait, tout chercheur d’une méthode très simple à mettre en oeuvre, et qui, dans le quotidien, peut vous permettre de mesurer vos compatibilités avec les aliments ou l’environnement…
Avec cette vie moderne, ces agressions, ces horreurs qu’on voit à la TV, ces bruits intenses et cette pollution, le corps est de plus en plus mobilisé, il s’organise de moins en moins, et va toujours plus se décaler énergétiquement. C’est pourquoi une méthode de régulation énergétique est utile.
L’énergie est la dimension essentielle de la vie ! Or, elle n’est pas prise en considération par la médecine. Pourquoi ? Parce que, jusqu’alors, elle n’était pas mesurable.
Mais, à présent, ce n’est plus vrai : la méthode ACMOS l’a rendue parfaitement mesurable !

2005 – Propos recueillis par Jean-Baptiste Loin